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Le Covid-19 est-il issu d'un accident de laboratoire ? En 2020, si la question avait été posée officiellement à l'Académie nationale de médecine, les débats auraient fait la une des journaux. Aujourd'hui, une séance dédiée organisée par les académiciens Christine Rouzioux et Patrick Berche peut passer presque totalement inaperçue, tant le public paraît déterminé à tourner la page. Alors même que certains intervenants ont discrètement plaidé en faveur de l'hypothèse d'une origine liée à la recherche, qui constituerait à l'évidence le plus grand scandale scientifique de tous les temps…
Annoncé sur le site Internet de l'académie au début du mois d'avril, le programme était pourtant très explicite : « De l'origine du Sars-CoV-2 à la virologie/biologie dangereuse. » Lier origine de la pandémi...
On ne tue pas des patients avec de l'HCQ dans le palu ou le lupus, c'est une indication dans laquelle les bénéfices surpassent largement les risques. Dans le covid l'HCQ n'apporte aucun bénéfice et augmente la mortalité des patients de 10% (cf. Méta analyses disponibles librement sur pubmed). Donc en donnant de l'HCQ dans le covid, on tue des patients. C'est un fait. Pas dans le palu, ce n'est pas la même maladie, ça n'a pas le même effet.
Il vous a déjà été expliqué à x reprises que le paracétamol ne sert à rien d'autre que faire baisser la fièvre. Vous n'écoutez pas ce qu'on vous répond, je ne perdrais pas davantage mon temps si vous ne lisez que ce qui vous arrange dans les réponses... Les patients sous HCQ ont AUSSI eu du paracétamol pour leur fièvre. Bref, tant que vous n'aurez pas compris que le paracétamol est un anti-douleur et antipyrétique, on n'avancera pas. Je l'ai déjà expliqué x fois.
@Skeptos le 12/05/2023 à 20 : 48
"Vous dans le corps médical" vous n'aviez pas envie de "tuer vos patients" avec de la Chloroquine ?
Vous l'aviez donc, dans le même temps, supprimée à tous ceux qui partaient en zones infectées de palu ?
Le Pr Raoult lorsqu'il chroniquait au Point réservait ses chroniques à son domaine d'activité.
Et ce jusqu'au jour où il a eu le malheur de faire une incidente sur le réchauffement climatique en disant peu ou prou ceci :
"Je ne suis pas un climatologue, donc je n'ai pas d'opinion sur le sujet du réchauffement, par contre je suis un scientifique et à ce titre je peux dire que le débat sur le réchauffement n'est pas un débat scientifique"
Ce jour-là son sort était scellé, et sa collaboration au Point terminée.
Et depuis lors les débats qui le concernent n'ont, eux non plus, pas grand chose de scientifique.
Enfin dernière chose : quand vous écrivez "Depuis les études sérieuses entre juin et octobre 2020, la question était tranchée" vous confirmez bien qu'entre Mars et Juin elle ne l'était pas, et que les patients lambda avaient alors de bonnes raisons d'être tentés par la Chloroquine qu'il connaissait favorablement plutôt que par le paracétamol dont ils savaient que c'était un "emplâtre sur une jambe de bois".
J'ajoute que l'argument du "ça a sauvé des millions de personnes du palu" n'est pas un argument pour l'efficacité contre un virus. Ça n'a aucun sens. Ou alors pourquoi pas l'insuline ? Après tout ça a sauvé des millions de personnes du diabète donc ça va forcément guérir le covid. Ça n'a aucun sens. Deux maladies qui n'ont rien a voir ne répondent pas de la même manière à un même traitement.
Au total, l'opposition principale que nous avions tous sur le traitement par HCQ dans le covid AVANT d'avoir fait les essais est simple : on ne savait pas si ça allait soigner, ne rien faire ou tuer des patients. Il s'avère que dans le covid, ça les tue encore plus. Donc avec votre méthodologie basée sur l'intuition de "je préfère ça même si on a pas la moindre preuve que ça marche" vous auriez diminué vos chances de survie.
Ça, c'est à vous de voir. Mais nous, dans le corps médical, on n'a juste pas envie de tuer nos patients en jouant à l'apprenti sorcier en donnant des médocs au pif.